La séquestration du carbone:
une troisième voie pour le Protocole de Kyoto

 

La mise en oeuvre du Protocole de Kyoto requiert une approche qui comprend la réduction de la consommation d’énergie, l’utilisation de sources d’énergie pauvres en carbone, ainsi que la séquestration du carbone. Pour en savoir plus...

La séquestration du carbone consiste à capter et emmagasiner du carbone émis par des sources diffuses ou ponctuelles. Le carbone peut être séquestré dans quatre types de réservoirs qui ont des caractéristiques différentes.

  1. La biomasse terrestre constitue un réservoir à court terme (décennies) de carbone qui offre l’avantage supplémentaire d’améliorer les écosystèmes. Pour en savoir plus...
  2. L’océan est un vaste réservoir de carbone mais les impacts de l’injection de carbone sur les écosystèmes et la dynamique océanique demeurent préoccupants. Pour en savoir plus...
  3. Au Québec, les réservoirs géologiques se situent près des centres de consommation et ils offrent un potentiel significatif pour emmagasiner le carbone pour une longue période de temps. Pour en savoir plus...
  4. La carbonatation minérale est la seule forme de séquestration permanente du carbone. Le Québec dispose d’une opportunité unique pour séquestrer du carbone par la carbonatation minérale tout en revalorisant les parcs à résidus miniers du sud du Québec. Pour en savoir plus...

Département de géologie et génie géologique
Faculté des sciences et de génie - Université Laval

Dernière mise à jour : 24 mars 2004


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